jeudi 17 avril 2008

Grande décision

Je croyais pouvoir tenir. Mais la façon de faire de mon patron ne me convient absolument pas. Nous sommes des sous merdes. J'ai jamais vécu quelque chose de semblable. Ou peut-être que oui, lors de mon premier stage dans une pépinière de culture de tomates à Joliette. Mais c'était du sexisme. Ici c'est de la dénigration.

Je ne fais pas ma douillette. Ceux qui me connaissent le savent. Mais après les mesquines remarques ou les mimiques exaspérées que m'a fait mon patron au cours de la journée, je regrette je rends les armes.

Je vais devoir piger dans mes REER à nouveau, mais tant pis.

1 commentaire:

Anonyme a dit...
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