J'arrive pas à écrire quand je suis down. J'aimerais le faire comme Danielle ma collègue blogueuse (je dis pas qu'elle a le blues: attention!) mais je sais qu'au moins elle arrive à communiquer le syndrome de l'écran blanc et à le tourner en de jolies phrases. (Aujourd'hui j'arrive pas à mettre les liens désolé! Maybe next time.)
Moi je reste muette. Mais je reste présente, je lis les courriels de mes amies, j'ai aussi retrouvé d'ailleurs une cousine qui m'est chère par l'entremise de mon mariage et je lis mes blogues favoris. Ma famille proche sait que lorsqu'il y a silence de ma part, ça ne va pas. Ma mom a pris la relève et me soutient à bout de bras dans ces moments là. C'est bizarre, car pour moi j'ai toujours été celle qui soutenait tout le monde, la femme forte. À 36 ans je réalise comme c'est bon d'avoir du soutien familial.
Je lis aussi en ce moment un livre qui me fait sourire: Les français ont aussi un accent. Par Jean-Benoit Nadeau. (J'arrive toujours pas à mettre des liens ajourd'hui...)
2 commentaires:
T'en fais pas pour le lien!!! Oui, nous sommes souvent confrontés à des périodes durant lesquelles les sujets se font rare, où le moral n'est pas génial!! Parfois j'écris des articles très tristes, aussi, en parlant à mots couverts de mes états d'âme... On ne peut pas être toujours d'humeur joyeuse!! Bonne chance et accroche-toi! C'est très dur, l'expatriation. Tu es peut-être dans la pire période: l'excitation du début est retombée... l'adaptation n'est pas encore faite... T'en fais pas, nous sommes tous passés par là!
Je m'accroche, je m'accroche! D'autant plus que mon Amoureux est très attentif à ces moments de turbulence intérieur. C'est bon de savoir qu'il y en d'autres qui sont passées par là! Encore une fois merci.xxxx
Publier un commentaire